Dans la veine de Zérogravity, les compétiteurs enchaînent les figures imposées. Arrivés en fauteuil jusqu’à la porte de l’immense tube dans lequel s’engouffre l’air simulant une chute libre, les sportifs handicapés semblent soudain plus libres de leurs mouvements. C’est d’ailleurs un peu vrai.
Retrouvez l’intégralité de cet article dans le Courrier Français édition Tarn et Garonne du 17 décembre (page 4).