« Nous avons été déstabilisés avec la blessure de Benoît Rotty, double champion du monde, qui s’est tout de même cassé deux lombaires. Il a porté un corset pendant six mois. On a pu continuer les entraînements grâce à Rodolphe Pourcelot. Et sauter avec quelqu’un qui ne vole pas du tout pareil, ça nous a solidifiés. Nous sommes sortis de notre situation de confort.
Ça nous a demandé plus de concentration et de faire abstraction des éléments extérieurs. Lors des six premiers sauts, mes jambes flageolaient. J’étais mal à l’aise. Mais ça ne nous a pas empêchés de faire 23 tours. On n’a jamais été aussi forts alors que de mon côté, je n’étais pas bien… »
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