Comme pour beaucoup d’adeptes de ce type d’art encré dans l’épiderme, Déborah Ferrand avoue que ses tatouages racontent des bribes de son existence. Forcément, les regards se portent sur les dessins qui ornent sa peau et notamment cette drôle de cigogne visible sur l’intérieur de sa cheville droite. Des origines alsaciennes peut-être, comme son coach Jacques Baal ? « Non, je suis née à Paris et je réside dans le Jura », sourit celle qui, dans la vie, est militaire au Bataillon de Joinville.
Retrouvez l’intégralité de cet article sur L’Est Républicain édition Belfort du 18 juin (page 6).