Si le site ressemble moins à une fourmilière qu’en plein été, il ne dort pas pour autant. D’ailleurs, à y regarder de plus près, quelques drôles d’oiseaux à voile planent au-dessus des entrepôts et se posent sur la pelouse centrale encore bien verte. À l’intérieur de la Maison de l’air, pas mal de boutiques ont baissé le rideau, mais quelques irréductibles sont derrière leur comptoir pour renseigner les rares clients et prendre quelques rendez-vous pour l’année prochaine. «Il y a des gens qui réservent maintenant pour sauter au printemps», informe-t-on au Centre école régional de parachutisme sportif (CERPS). Et c’est tant mieux pour les gérants, qui peuvent ainsi prendre un peu d’avance sur leur calendrier 2015.