« C’est grisant, le décollage est parfois difficile, les règles sont strictes… Mais au final, c’est formidable. Ça fait tout drôle de se retrouver à 350 ou 400 m d’altitude, de larguer le câble, d’être responsable de soi. » Pendant trois jours, cette semaine, Erdon et Nader se sont initiés au parachutisme ascensionnel. […]
Retrouvez l’article dans son intégralité dans l’édition du 24 octobre 2015 de Ouest France.