“Une quinzaine d’heures d’entraînement par an Il a vu que la Fédération française de parachutisme finance des équipes semi-professionnelles. « Puis j’ai rencontré deux jeunes, Maxime Lacourt de Montpellier et Axel Loubet d’Arles, à Pujaut qui avaient chacun une centaine de sauts. J’ai vu qu’ils étaient appliqués et qu’ils avaient envie de bien faire. J’ai eu l’idée de monter une petite équipe pour participer aux championnats » , raconte-t-il.”
Retrouvez l’intégralité de l’article dans le journal Midi Libre Gard Rhodanien du 16 mars 2019.