[…] « C’est un parachutiste de Paris, Thibault, qui nous a proposé ce défi. Sensibilisé à titre personnel par la maladie, il voulait se raser la tête, symbole de l’après chimio, pour récolter des fonds contre le cancer », confie Julien Degen. Une boule à zéro soigneusement minutée : « Nous avons sauté à 4 000 m d’altitude. Je disposais de cinquante secondes pour le tondre avant que nous ouvrions notre parachute », analyse l’ancien directeur technique du club de parachutisme de Maubeuge.
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