23 Apr 2018 - Handi Fly - Informations

Stage Handifly, EFP Le Blanc

9 compétiteurs français de voltige tandem HandiFly, sont réunis à l’EFP Le Blanc pour leur tout premier entrainement du 23 au 27 avril 2018. Un temps couvert ne permet pas de démarrer immédiatement en ce premier jour. Mais un briefing va bientôt réunir tous les participants de ce premier stage d’entraînement HandiFly.

Le premier brief avec Hervé Dizien, les moniteurs et les membres de l’organisation de ce premier stage d’entraînement HandiFly, porte sur les différents handicaps des compétiteurs présents #handifly

[ZOOM SUR] Maxime Granier a 22 ans. En L1 à l’UFR Staps de Nancy, spécialisation parachutisme, il pratique également l’escalade, le ski et la danse. Infirme moteur cérébral (IMC) de naissance, il a débuté le parachutisme au championnat de France toutes disciplines de 2015, à Vichy, et aux challenges européens. Avec 56 sauts tandem, il a pour objectif de participer au prochain challenge 2018, à Moscou. Licencié à Lille-Bondues, il saute à Lille et à Nancy. Avec l’engagement total qu’il met dans son quotidien, Maxime se livre : “Faire du parachutisme, c’est avant tout, pour moi, sauter et m’éclater. Puis, cette forme d’incertitude en l’air, vu que l’on est contraint de s’adapter aux conditions naturelles. Il faut aussi être dans une totale confiance envers celui qui nous porte. On a vraiment une relation amicale et sécuritaire. Heureusement que la FFP – Fédération Française de Parachutisme a lancé ce projet. Elle nous offre une chance inouïe. C’est un très beau cadeau de la vie. Sans elle, je ne serais pas un para !! C’est pour cela que je m’investis dans la commission handifly, non pas pour moi, mais pour faire partager au plus grand nombre. En ce sens, bravo à Laura Flessel – Ministre des sports, pour sa campagne contre les discriminations #ExAequo Ministère des Sports @ffhandisports


Micheline Alizon est responsable de la section handisport au Club Alpin Français de Châteauroux. Le CAF de Châteauroux a été créé en 2000, par Gilles Baudat. Micheline en a pris la présidence de 2012 à 2016, suivie à ce poste par Martin Guillerout, jeune président de 28 ans, afin de se consacrer à l’animation de la section handisport qu’elle a initiée en décembre 2012. Avec 6 adhérents PMR et 6 accompagnants, la section compte, en 2018, 27 adhérents et 27 accompagnants. En 2015 et 2016, 10 personnes en situation de handicap, atteintes de pathologies diverses, avaient pu participer à une journée d’initiation tandem et l’un des stagiaires, Sylvain Benard, avait même poursuivi, ensuite, aux championnats de france 2016. Le CAF de Châteauroux tenait donc à s’agréger à cet entraînement pour que Laurent Michenet, néo-adhérent du Club Alpin, puisse découvrir la discipline. #ExAequo
Pour tout renseignement : http://caf36.ffcam.fr

Pour Michel Guiavar’ch, médecin fédéral, présent durant tout le stage d’entrainement à l’ EFP Le Blanc,« le handifly, comme tout autre handisport, induit des différences ou des adaptations dans les performances physiques (besoin d’assistance avec un guide en athlétisme, etc….). Ces différences peuvent donner lieu à des classements en sous-catégories. En handifly, pour gommer cette différence, le choix s’est porté sur la création de coefficients de compensation. Plusieurs critères ont été pris en compte tels que « disponibilité ou non des bras », « jambes existantes en termes de fonctionnalité »,…. Avec un recul de 5 années uniquement, la FFP est toujours en phase de réflexion et d’adaptation par rapport à la détermination de ces coefficients grâce à l’analyse des vidéos pour voir le travail en chute des handicompétiteurs. La France est pleinement initiatrice de cette démarche et une grille a été présentée, lors du challenge européen 2017, aux fédérations russes et biélorusses qui l’ont agréée. Ces coefficients amènent à une uniformité des résultats. Mais cette grille sera obligatoirement évolutive tant en lien avec l’évolution de la pathologie que durant la compétition même, des athlètes pouvant être sur ou sous évalués. A l’issue de la 1ère manche, il peut ainsi y avoir une réévalutation induite par l’analyse de la vidéo ». A l’international, il existe des classificateurs, formés par discipline, afin d’apporter un regard extérieur, neutre et non opposable. La Fédération Française de Parachutisme a donc adressé une demande à la Fédération Française Handisport pour la formation de trois intervenants qui disposeront, ainsi, d’un spectre plus large. « Bien que le handifly soit encore confidentiel, la FFP doit permettre à tout sportif d’intégrer le handi-parachutisme, discipline naissante qui n’attend qu’à se développer » rappelle Marie-Claude Feydeau, vice-présidente de la FFP et instigatrice de ce projet avec les équipes fédérales. « A Moscou, la France ira chercher la performance car cela contribuera à la reconnaissance de ce sport. Nous nous devons aussi de sensibiliser d’autres pays européens pour qu’ils mobilisent leurs compétiteurs voire pour organiser le challenge européen handifly 2019. D’où ce stage, adossé à un travail de fond, qui ne pourra qu’amener des résultats engendrant fierté, implication et incitation à la pratique ».

Claire Duverger, est licenciée au Parachutisme Laval Centre Ecole Mayenne (53).
C’est en 2010, grâce à l’association Marathon Soleil, dans le cadre d’un projet solidaire, que Claire effectue son premier saut. Il lui faut attendre 2014, lorsque son premier moniteur lui propose de participer aux championnats de France, pour se lancer réellement dans la pratique. C’est « l’attrait du défi » et la « sensation inégalable, que procure le parachutisme », comparé à d’autres sports, qui l’ont poussée à s’investir complètement dans la discipline. Claire a participé aux quatre éditions des championnats de France, au premier Handifly Euro Challenge en septembre 2016 à Lille et au deuxième challenge à Minsk en 2017, où elle termine 9ème sur 22.
Avec 78 sauts à son actif, dont 3 sauts depuis la reprise de la saison, “il est impossible d’attendre la saison parachutiste et de ne rien faire de l’hiver” ! Elle pratique donc le vol en soufflerie, souvent en Belgique à Ice Mountain, et a réalisé au total 6 h 15 de vols. La soufflerie est une formidable opportunité pour lui permettre de travailler sa technique et, pourquoi pas, essayer de plus en plus de voler seule dans la veine. Claire, qui dit d’elle-même ne pas être une sportive dans l’âme, a pris goût au sport grâce au parachutisme, et plus particulièrement avec la compétition. En effet, l’envie de progresser l’a motivée à poursuivre les activités sportives qu’elle pratiquait déjà, et surtout à en faire davantage : fitness, renforcement musculaire, préparation physique, cours de danse… avec un coach qui la suit de près. « Mes proches m’ont un peu poussée à ça, et m’ont dit : si tu es capable de sauter en parachute, faire du sport ce n’est rien à côté ». Son but, avec cet entrainement physique, est de travailler pour être plus performante et moins fatiguée lors des compétitions.
Côté compétition, ses objectifs, pour le troisième HandiFly de Moscou puis pour les Championnats de France à Vichy sont de progresser par rapport à 2017, et pourquoi pas, de se rapprocher du podium ! Cette période de compétions sera malgré tout éprouvante, mais ce n’est pas ça qui arrêtera cette optimiste invétérée ! Claire tenait à remercier la FFP qui, avec premier stage HandiFly, permet aux sportifs d’apercevoir de nouvelles possibilités. “Je passe maintenant à une nouvelle étape, plus sérieuse”.


Jordan Hennequin, qui est atteint d’une Infirmité Motrice Cérébral (IMC) de naissance, a commencé le parachutisme il y a 5 ans, à l’Ecole de Parachutisme du Blanc (36). En 2014, on lui propose de faire un saut, puis de participer, la même année, aux premiers championnats de France qui ont lieu à Vichy. Depuis, il ne s’est pas arrêté ! Jordan a aussi été compétiteur sur les deux challenges européens HandiFly, Lille en 2016 et Minsk en 2017. Il sera bien entendu à Moscou, pour le troisième challenge, en juillet 2018. Depuis 3 ans, il saute à l’école de parachutisme de Saint-Denis-de-l’hôtel près d’Orléans, et il effectue entre 4 et 5 sauts par an. L’objectif de Jordan pour cet entrainement est de trouver la bonne technique qui lui permettra de bien effectuer les rotations, et donc d’améliorer ses temps.


Fabien Bouin, rescapé d’un accident de moto, a débuté le parachutisme en 2008 et participe depuis trois ans aux championnats de France de Vichy. Il a aussi été présent sur le premier HandiFly Euro challenge, à Lille, en 2016 et sur le deuxième, à Minsk, en 2017. Licencié à l’Ecole de Parachutisme du Centre Orléans Loiret (45), il a 25 sauts à son actif. Fabien a testé le vol en soufflerie à Lille, lors du premier challenge HandiFly, Mais aux sensations du vol dans la veine, Fabien préfère l’adrénaline du saut en parachute. Il compte bien poursuivre son engagement et être compétiteur sur le prochain challenge européen à Moscou, en juillet 2018, et enchaîner avec les championnats de France de Vichy (03) qui auront lieu du 2 au 5 août 2018.

Frédéric Rami, professeur de sport de formation est référent HandiFly à la FFP. Il gère la partie logistique, technique et l’organisation des évènements et compétitions HandiFly. Il travaille en lien étroit avec le groupe de travail handi qui a été créé au sein de la fédération. Ce premier stage d’entrainement HandiFly fait partie de la deuxième phase dans laquelle la FFP entre pour la pratique du HandiFly. Après avoir passé la phase d’expérimentation, la fédération s’inscrit désormais dans une logique de performance pour les compétiteurs qui ont l’envie d’aller plus loin. La fédération prend en charge financièrement le stage pour chaque participant sauf leur place dans l’avion. En plus de financer une partie du stage, la difficulté a été de trouver des moniteurs disponibles et impliqués pouvant être présents sur toute cette semaine. Concernant le centre de parachutisme du Blanc, très confortable, il permet d’accueillir les participants handi, puisqu’il bénéficie de logements. « Pourquoi pas deux stages l’année prochaine ! » espère Frédéric Rami.

Hayette Djenanne, multi médaillée d’or en Voltige Tandem Handisport aux championnats de France, se bat contre une myopathie des ceintures depuis de nombreuses années. Entre 8 à 12 h de soin par semaine, kiné, balnéothéraphie…Hayette s’engage pour le handicap, le handisport et l’accessibilité. L’envie d’aller encore plus loin est toujours là, mais Hayette est réaliste, l’évolution de sa maladie peut l’obliger à ralentir de rythme. Elle ira au bout de la saison 2018, en participant au troisième challenge handiFly à Moscou et au championnat de France, mais 2019 et l’avenir sont à réfléchir. En effet, les compétitions sont de plus en plus dures pour elle. Sa bonne maîtrise de la technique et les soins qu’elle reçoit lui permettent de maintenir son autonomie, et c’est ce qui la motive encore, ainsi que l’envie de vivre à fond chaque instant.

Cyril Moré, athlète paralympique en ski et en escrime multi-médaillé, avait réalisé son premier saut tandem en 2014, lors du stage co-organisé par l’ASM et la FFP, à Vichy. Trois autres sauts suivront, à La Rochelle. Sollicité pour parrainer un forum des associations sportives, les organisateurs avaient organisé un saut avec atterrissage sur la plage. Juste avant les jeux d’Athènes, son porteur tandem l’avait challengé en lui proposant de le faire sauter autant de fois qu’il ramènerait de médailles 😊 Avec 2 médailles d’or et 1 médaille de bronze, en escrime, Cyril reviendra pour retrouver cette sensation de la porte de l’avion qui l’avait le plus marqué ; « sensation hyper grisante qui ne ressemblait ni à un saut de plongeoir ni à un saut depuis un pont ». D’autres ressentis sont arrivés, sur le premier saut réalisé au Blanc : « les odeurs, surtout les odeurs de fleurs qui sont perçues dès 500 mètres ». Et puis « la confiance maximale dans le porteur, belle aventure humaine. Après ces 4 premiers sauts » rajoute Cyril, « j’ai eu envie de comprendre, en tant que sportif ; envie de comprendre qu’est ce qui pousse les parachutistes à continuer encore et encore à monter dans l’avion. C’est donc un challenge, un vrai défi de dépasser cette situation qui, pour un néophyte, peut semble d’une évidence affligeante : réussir à faire un tour à 360° en vol ! Mais aussi l’envie de progresser et de performer ». Après avoir délibérément pris sa retraite de sportif paralympique en ski puis en escrime, après 20 ans de compétition, c’est un nouvel enjeu pour comprendre quelles limites peut encore atteindre ce compétiteur dans l’âme. Il est donc dans l’attente « du partage avec les autres tout autant que de la recherche de la performance qui vont forcément se croiser pour conduire au plaisir, moteur fondamental pour tout athlète ». Sollicité par Laura Flessel, Ministre des sports, pour être l’une des égéries de la campagne de sensibilisation aux discriminations dans le sport parmi une dizaine d’autres athlètes, toutes disciplines confondues, Cyril s’est totalement engagé, comme à l’accoutumée, pour témoigner que la cause du handisport est tout aussi prégnante que les autres. Pur produit de la candidature #Paris2024, très fortement investi, du premier au dernier jour, dans des commissions sportive et environnementale et au sein du Conseil d’Administration, il poursuit son engagement en collaborant avec l’IPC et participera dans quelques jours à un séminaire pour définir la dimension des jeux paralympiques. Sa présence sur ce stage ? « Savoir si je continue ce sport ou non !! Mon enjeu est de performer. Après, la porte reste ouverte sur d’éventuelles compétitions. Alors je me dis, vas-y bonhomme, bouges toi. A moi de mettre en œuvre ce qui a pu me réussir dans ma vie de sportif : être concentré mais bien, et trouver le plaisir ». Et puis, en marge, frange d’un pourcentage non défini « pouvoir sauter tout seul ». Paraplégique suite à un accident de ski à 19 ans, Cyril veut mobiliser la FFP. « Aller au bout des innovations lancées par la fédération, y être contributeur, participer à cette possibilité d’autonomie de saut, et, pourquoi pas en être le testeur….. ». Un nouveau rêve qui s’ouvre ? En tout cas, une belle aventure à partager. #ExAequo


Hayri Simsek et Yann Nouard ont débuté en même temps la compétition HandiFly avec le championnat de France de Vichy en 2016, grâce à deux moniteurs très engagés dans le HandiFly, Philippe Matonnier et Lydia del Ben, unique femme monitrice handi. En 2016 et 2017, ils sont aussi compétiteurs sur les challenges européens HandiFly à Lille et Minsk. Ce stage d’entrainement est pour eux la reprise des sauts et l’occasion de progresser pour les prochaines compétitions à venir. Yann, qui totalise 30 sauts depuis ses débuts, est licencié à l’EPS du Bassin d’Arcachon. Il a été nageur de haut niveau et a participé aux Jeux Paralympiques d’été 2008 de Pékin. Salarié EDF, l’entreprise lui attribue des jours qui lui permettent de pratiquer le parachutisme et d’être présent sur les compétitions. Hayri, quant à lui, est licencié au Centre Ecole de parachutisme de Cahors. Ancien militaire blessé au Kosovo lors d’une opération, il commence la natation puis la compétition handisport à haut niveau, et enfin le parachutisme. Hayri a déjà une cinquantaine de sauts à son actif.


#ExAequo

Christophe Caron, a perdu ses jambes en 2007, dans l’explosion accidentelle d’une roquette anti-char, alors qu’il était militaire au 18ème régiment de transmissions de Bretteville-sur-Odon. Désormais secrétaire administratif au ministère des anciens combattants, le caennais a touché au parachutisme il y a 20 ans, avec une dizaine de sauts réalisés à l’époque.  Il y a deux ans il fait son premier saut en tandem, et en décembre 2017 on lui propose de participer aux championnats de France de parachutisme à Vichy. Christophe est un sportif, il a fait de l’escrime, du handbike… et depuis 4 ans il pratique l’aviron, il est d’ailleurs monté sur la troisième marche du podium lors des championnats de France d’aviron en bateaux courts, qui se déroulaient mi-avril, à Cazaubon dans le Gers.  « Le parallèle que je peux faire entre l’aviron et la voltige tandem handi c’est l’apprentissage de la technique, on nous apprend à d’abord bien maîtriser la technique avant de vouloir faire de la vitesse». Nous retrouverons donc Christophe sur la drop zone de Vichy, du 2 au 5 août 2018 pour le championnat de France !

Mardi 24 avril : Le stand-by permet à Frédéric Rami de faire un débriefing précis avec tous les stagiaires en analysant les contraintes de chacun, les pistes de progression, les adaptations suggérées selon chaque niveau de handicap. Un visionnage des sauts va ensuite permettre de mieux analyser chaque composante des sauts pour performer. L’ambiance est concentrée. Porteurs et vidéomen apportent leur contribution aux recommandations. L’échange est riche. En attendant que le ciel se dégage, le chariot ascensionnel va mettre mis à profit pour poursuivre les entraînements.

Le débriefing vidéo est essentiel pour analyser les sauts des stagiaires. Chacun apporte son expérience

Point presse sur ce stage handifly pour faire découvrir la démarche fédérale.

Durant le stage, les participants auront également pu profiter de la présence du chariot ascensionnel. Mis en place et animé par l’équipe du Puy en Velay, ce chariot représente une belle opportunité largement soutenu par la FFP – Fédération Française de Parachutisme

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