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Les inscriptions se font uniquement en ligne via http://ffp.asso.fr/online/v2/index.php?competition .
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Pour les inscriptions aux championnat de France Ascensionnel, vous devez créer une inscription individuelle de PA Ascensionnel.
Consultez le Guide succinct pour connaitre la marche à suivre
Le prochain Championnat de France de Parachutisme ascensionnel en Précision d’Atterrissage, organisé par l’Ecole de Parachutisme Ascensionnel du Haut-Limousin, en collaboration avec l’ANEG, et sous l’autorité de la Fédération Française de Parachutisme, se déroulera du 23 au 25 mai 2014 sur l’hippodrome de La Sagne, à Le Dorat (87). Ce championnat est ouvert à tout licencié de la FFP, ascensionnel ou traditionnel.
Chaque titre se disputera en 6 manches, avec un minimum de 2 manches pour valider la compétition. Il sera délivré trois titres de Champion de France ascensionnel en Précision d’Atterrissage :
– Champion de France d’Atterrissage toutes catégories
– Champion de France d’Atterrissage des moins de 18 ans
– Championne de France d’Atterrissage
Le parachutisme ascensionnel avait connu un fort développement dans les années 70. Puis sa pratique avait fortement diminué ces dernières années. Marie-Claude Feydeau, Présidente de la Fédération Française de Parachutisme, et les membres du bureau directeur, ont fait de son développement une des priorités du projet fédéral présenté lors de l’Assemblée Générale élective de 2013.
En favorisant ce nouvel essor dans toutes les écoles françaises de parachutisme traditionnel, c’est un projet à objectifs multiples que porte la FFP. Il doit permettre aux jeunes, dès l’âge de 12 ans, de se perfectionner dans le pilotage d’une voile (le parachutisme étant ensuite possible à partir de 15 ans). Rapidement, les adolescents pourront accéder à la pratique d’une discipline sportive -la précision d’atterrissage- et, donc, à des compétitions ; ou pratiquer pour le plaisir de voler, tout simplement.
Actuellement, les équipes de France de Précision d’Atterrissage utilisent de plus en plus régulièrement l’ascensionnel pour multiplier les entraînements, à moindre coût.
La France disposera ainsi d’un vivier de jeunes athlètes possédant la maîtrise de la PA et du pilotage d’une voile dès l’âge de 18 ans avec des centaines, voire des milliers, d’atterrissages sur le «carreau» de la cible.
Dans le but de favoriser l’accès au sport pour tous, l’ascensionnel offre de multiples possibilités. Il peut permettre aux accompagnants de parachutistes traditionnels, conjoint(e)s, enfants, ami(e)s de se distraire agréablement en pratiquant l’ascensionnel.
L’ascensionnel, du fait de son moindre coût (aux environs de 5 € le vol), est accessible à un plus grand nombre de pratiquants. Dans cet esprit, des partenariats pourraient être envisagés avec des associations de quartiers œuvrant dans l’intérêt des jeunes garçons et filles.
La FFP a aussi mis au point un chariot permettant aux personnes à mobilité réduite de pratiquer le parachutisme ascensionnel, soit en tandem, soit seul.
Dans cette volonté de promotion du parachutisme ascensionnel, la FFP a décidé de relancer l’organisation annuelle du championnat de France de parachutisme ascensionnel ouvert à tous les licenciés FFP à Le Dorat (87), Hippodrome de La Sagne, du 23 au 25 mai 2014.
Le parachutisme ascensionnel consiste en un décollage sous parachute, sous voile, tracté par un véhicule à moteur, une automobile ou un treuil. Le parachutiste peut monter à une altitude correspondant au tiers de la longueur du câble de traction ; la descente s’effectuant dès la fin de la traction.
Il peut aussi y avoir libération du parachutiste qui peut ainsi évoluer librement, s’il possède son brevet de parachutisme. A la manière des oiseaux, le parachutiste profite des courants ascensionnels pour prendre de l’altitude.Cette discipline est accessible à partir de l’âge de 12 ans. Elle constitue une bonne initiation pour les très jeunes avec un coût faible. La pratique de l’ascensionnel est de plus en plus utilisée pour l’entrainement en Précision d’Atterrissage, notamment par les équipes de France qui peuvent ainsi multiplier les vols, à moindre coût. La pratique de l’ascensionnel dérive de la pratique du parachutisme sportif.
Le Parachutisme Ascensionnel apparaît pour la première fois en 1917. Ce sont les sous-marins allemands qui ont expérimenté cette forme de parachutisme en remorquant, à des fins d’observation, un parachute Henecke utilisé comme plate-forme d’observation.
Il faudra attendre les années 50 pour que réapparaisse un intérêt pour le parachute ascensionnel. A cette époque, on n’utilise que des parachutes à voile hémisphérique. Au milieu de ces années 50, les premières modifications sont apportées aux voilures avec l’introduction de fentes -pour augmenter la manœuvrabilité du parachute-, puis de tuyères sur les voilures de secours.
C’est un français, Pierre-Marcel LEMOIGNE, qui va réellement inventer le premier parachute ascensionnel. Ce Pionnier de l’aviation française, ingénieur aéronautique et ancien pilote d’essai, avec son parachute ascensionnel hémisphérique à tuyère aux étonnantes performances aérodynamiques, va également révolutionner le parachutisme sportif.
Le 25 juillet 1960, sur le terrain de La Ferté Allais, a lieu le premier décollage d’un parachutiste et le premier vol ascensionnel réalisé avec une voilure hémisphérique LEMOIGNE 679 A, prototype fabriqué par la société française S.E.D.PA. de Bergerac. Le parachutiste d’essai Michel TOURNIER, tiré par un câble fixé par une extrémité à son harnais et, à l’autre, à un véhicule roulant à 30 Km/h, décolle, monte à une hauteur de 40 mètres et, après s’être libéré du câble, se repose normalement comme avec un parachute conventionnel de l’époque.
L’année suivante voit l’implantation de l’activité de parachutisme ascensionnel au sein des différents centres de parachutisme sportif, avec la dotation de voilures LEMOIGNE par le Service de la Formation Aéronautique, en vue de développer cette nouvelle discipline.
En cette année 1961, Pierre-Marcel Lemoigne dépose le brevet de ce nouveau parachute. Il ne trouve pas d’acquéreur en France et finit par en vendre les droits à la Pioneer Parachute Company aux USA. Les parachutistes équipés de ce nouveau parachute, sous le nom célèbre de «Pioneer Para-Commander Mark I», raflent toutes les médailles de Précision d’Atterrissage aux championnats du monde de 1964, à Leutkich. Les fabricants de parachutes français rachètent alors la licence de fabrication, pour produire leur propre modèle : «Le Papillon».
Dès 1961, le Service de la Formation Aéronautique dote les centres de parachutisme sportif de voilure Lemoigne avec l’objectif de développer l’activité de parachutisme ascensionnel.
En 1972, le parachutisme sportif passe sous la tutelle du Ministère de la Jeunesse et des Sports. La Fédération Française de Parachutisme devient délégataire de toutes les activités liées aux activités sportives de parachutisme. A l’origine, on recense 2 parachutismes ascensionnels, le terrestre et l’aquatique. L’aquatique quitte la FFP au début des années 2000.
En ascensionnel terrestre, le parachutiste utilise différentes voiles, hémisphériques, ailes de saut ou de parapente. Il est tracté soit par un véhicule (poste mobile), soit par un treuil ou un dévidoir (poste fixe ou semi-mobile). Le vol peut être passif -le parachutiste reste accroché- ou actif. Dans ce dernier cas, le parachutiste manœuvre sa voile pour utiliser les courants ascendants et descendants, tels les grands oiseaux, voire parcourir de longues distances, puis redescend.
En 1991, la FFP organise le premier championnat de France de parachutisme ascensionnel.
Le parachutisme ascensionnel peut se pratiquer, dès l’âge de 12 ans, sur tout terrain plat suffisamment long et libre de tout obstacle.
On peut utiliser presque tous les types de voiles, voiles de saut ou ailes de parapentes, avec encore une petite restriction pour les voiles de saut rapides pour lesquelles la technique d’utilisation n’est pas encore totalement maîtrisée.
L’équipement nécessaire pour pratiquer l’ascensionnel, outre la voile, est assez simple. Il s’agit soit d’un véhicule tracteur soit d’un treuil avec dévidoir.
La longueur du terrain va définir la hauteur de vol. Avec un câble de 400 mètres, le vol pourra atteindre une altitude de 100 mètres ; une longueur de corde de 1000 mètres sera nécessaire pour atteindre une hauteur de 400 mètres.
De fait, il n’y a pas la nécessité de pratiquer le parachutisme ascensionnel sur un aérodrome agréé, l’altitude de largage ne dépassant pas 400 mètres.
Le décollage est soumis à une contrainte : il doit être effectué dans l’axe du vent et face à lui. Un vent léger facilite le décollage, mais il ne doit pas excéder 12 nœuds.
Une fois l’altitude atteinte, dénommée «apogée», le parachutiste, après libération du câble à l’altitude, manœuvre sa voile et redescend comme dans un saut classique en parachute. Il peut aussi, avec de l’expérience, profiter des courants ascensionnels pour parcourir de longues distances.
La découverte commence toujours par une formation théorique d’environ deux heures, effectuée en salle de cours. On y apprend la constitution d’un parachute, les obstacles sur le terrain, la navigation sous voile, et la pose au sol. Puis vient le temps du vol proprement dit avec des formateurs, moniteurs et treuilleurs, dûment habilités.
Au début, l’apprenti commence par des petits vols accrochés. Puis, dès qu’il maitrise bien la manœuvre de la voile et le posé, il accède au vol libre. Ces techniques s’acquièrent très rapidement et, après quelques vols accrochés, le moniteur donne le feu vert pour la libération.
Pour accéder à la discipline il faut avoir 12 ans minimum, une autorisation parentale pour les mineurs et un certificat médical d’aptitude. Il y a très peu de danger à pratiquer le parachute ascensionnel, car le parachute est déjà ouvert avant le décollage.
L’adhésion à la Fédération Française de Parachutisme, FFP, par l’intermédiaire d’une licence, est obligatoire avant tout vol. La licence, d’un coût de 24 € à l’année pour les moins de 18 ans et 102 € pour les adultes, comprend une assurance pour la pratique du parachutisme ascensionnel.
L’apprentissage du parachutisme ascensionnel peut se faire dans les Ecoles de Parachutisme agréées de la FFP, équipées du matériel de traction.
La FFP a la volonté de développer le parachutisme ascensionnel. Elle souhaite, pour cela, favoriser son développement dans toutes les écoles de parachutisme traditionnel.
Ce développement du parachutisme ascensionnel dans les écoles est à objectifs multiples. Il doit permettre aux jeunes, dès l’âge de 12 ans, de se perfectionner dans le pilotage d’une voile (le parachutisme étant ensuite possible à partie de 15 ans). Rapidement, les adolescents pourront accéder à la pratique d’une discipline sportive, la précision d’atterrissage et, donc, à des compétitions ou pratiquer pour le plaisir de voler tout simplement.
Actuellement les équipes de France de Précision d’Atterrissage utilisent l’ascensionnel pour multiplier les entraînements, à moindre coût.
La France disposera ainsi d’un vivier de jeunes athlètes possédant la maitrise de la PA et du pilotage d’une voile dès l’âge de 18 ans avec des centaines, voire des milliers, d’atterrissages sur le «carreau» de la cible.
Dans le de favoriser l’accès au sport pour tous, l’ascensionnel offre de multiples possibilités. Il peut permettre aux accompagnants de parachutistes traditionnels, conjoint(e)s, enfants, ami(e)s de se distraire agréablement en pratiquant l’ascensionnel.
L’ascensionnel, du fait de son moindre coût (aux environs de 5 € le vol), est accessible à un plus grand nombre de pratiquants. Dans cet esprit, des partenariats pourraient être envisagés avec des associations de quartiers œuvrant dans l’intérêt des jeunes garçons et filles.
La FFP a aussi mis au point un chariot permettant aux personnes à mobilité réduite de pratiquer le parachutisme ascensionnel, soit en tandem, soit seul.
Dans cette volonté de promotion du parachutisme ascensionnel, la FFP a décidé de relancer l’organisation annuelle du championnat de France de parachutisme ascensionnel ouvert à tous les licenciés FFP., à Le Dorat (87), du 23 au 25 mai 2014.
Le Championnat de France de Parachutisme ascensionnel se déroulera du 23 au 25 mai 2014 sur l’hippodrome de La Sagne, à Le Dorat (87).
Le championnat est ouvert à tout licencié de la FFP, ascensionnel ou traditionnel.
Il sera délivré trois titres de champions de France en Précision d’Atterrissage :
Chaque titre se disputera en 6 manches, avec un minimum de 2 manches pour valider la compétition.
Pour pouvoir participer :
– Avoir le brevet B minimum de parachutisme ou parachutisme ascensionnel.
– Avoir 5 vols ascensionnels pour les parachutistes avant le championnat (validé par un directeur technique ascensionnel).
– Voile de saut uniquement (sauf voile rapide)
– Brevet B obligatoire
Fiche d’inscription à l’hébergement
– Forfait 65 € avec possibilité d’arriver le jeudi 22 mai, départ dimanche 25 mai
– Le camping sera strictement interdit sur le site de la compétition
– Fiche de renseignements “compétiteur”.
A remplir uniquement sur le site internet de la F.F.P. : www.ffp.asso.fr/online/competition.php
Vendredi 23 mai
08 h 00 : Accueil des compétiteurs dans l’enceinte de l’hippodrome de la Sagne et contrôle des matériels.
09 h 30 : Briefing général (organisation et technique) avec tous les compétiteurs.
10 h 00 : Vols d’essai (2 vols).
10 h 15 : Début des épreuves.
Repas sur place
19 h 30 : Fin des épreuves.
20 h 00 : Dîner.
Samedi 24 mai
09 h 00 : 1er appel – début des épreuves.
Repas sur place
19 h 30 : Fin des épreuves.
20 h30 : Dîner de gala (salle des fêtes).
Dimanche 25 mai
09 h 00 : Début des épreuves.
Repas sur place
14 h 00 : Fin de la compétition.
15 h 00 : Podiums
16 h 00 : Fin des championnats
Règlement des compétitions
RÈGLEMENT (validé par le comté directeur du 15 mars 2014)
I-AUTORITÉ
Le championnat de France d’Ascensionnel est une épreuve unique qui est conduite sous l’autorité de la F.F.P
II-DATES et LIEU
Les épreuves se dérouleront à compter du 23 jusqu’au 25 Mai 2014, sur l’hippodrome de LE DORAT (87), la dernière manche ne pouvant démarrer au-delà de 11h30 le 25 Mai 2014.
III- ATTRIBUTION DES TITRES
3.1 Décerner les titres suivants :
3.2 Pour décerner les titres de Champion de France d’Atterrissage (+ et – de 18 ans), il est nécessaire que l’épreuve compte au moins 5 participants dans chaque catégorie.
3.3 Le titre féminin sera décerné à la première féminine si au moins 4 compétitrices sont présentes.
3.4 Si un minimum de 10 compétiteurs (toutes catégories confondues) n’est pas enregistré avant la date limite d’inscription (18 mai 2014), la compétition sera annulée.
IV- CONDITIONS DE PARTICIPATION
4.1 Etre titulaire de la licence sportive fédérale de l’année en cours et d’un brevet fédéral B Ascensionnel de la F.F.P, ou pour les titulaires du Brevet B du conventionnel, obtenir le Brevet A dans les écoles ascensionnelles ou sur le lieu de compétition la semaine avant les championnats.
4.2 Adresser la fiche d’enregistrement et régler les frais de participation à l’organisateur pour la date limite.
4.3 Le port du casque est obligatoire
Championnat de France ASCENSIONNEL 2014
4.4 Les parachutes de saut utilisés pour la PA auront OBLIGATOIREMENT la poignée de libération et d’ouverture du secours neutralisées (application de la fiche technique N° 21)
V- ÉPREUVES
5.1 Précision d’Atterrissage « treuillé » : 6 manches au total pour tous les concurrents.
5.2 Au minimum, deux manches doivent être effectuées pour valider la compétition et décerner les titres
VI- CLASSEMENTS
6.1 Général : En additionnant les distances de toutes les manches réalisées ; le concurrent totalisant la plus faible distance à l’addition de toutes les manches jugées, sera désigné vainqueur.
6.2 « moins de 18 ans » : il est extrait du classement général, le vainqueur est celui de moins de 18 ans qui totalise la plus faible distance à l’addition de toutes les manches jugées.
6.3 Féminin : il est extrait du classement général, la gagnante est celle qui totalise la plus faible distance à l’addition de toutes les manches jugées.
6.4 il est possible pour une seule personne de cumuler les trois titres décernés, si elle remplit les critères requis.
VII- ORGANISATION DES ÉPREUVES
7.1 L’ordre des vols pour la première manche sera déterminé par un tirage au sort, cet ordre de vol initial sera maintenu pour la deuxième manche qui valide la compétition.
7.2 Pour les manches suivantes, dans la mesure du possible (contraintes d’organisation) les vols se feront dans l’ordre inverse des classements des manches précédentes.
7.3 Si les moyens techniques et le site le permettent, les décollages pourront s’enchaîner sans attendre l’atterrissage des concurrents précédents.
7.4 Pour permettre aux concurrents et au directeur de la compétition d’évaluer les conditions et possibilités de vol, au minimum deux vols seront effectués avant le début d’une manche par deux pratiquants confirmés, non-inscrits à la compétition, choisis après concertation entre le Chef-Juge et le Directeur de la compétition. Ces deux vols d’ouvreurs pourront également être réalisés en cas d’interruption de l’épreuve, supérieure à une heure ou de changement du lieu de décollage.
PRÉCISION D’ATTERRISSAGE EN TREUILLÉ
I- OBJECTIF DE L’EPREUVE
1.1 Se poser sur le centre ou au plus près du centre d’une cible réglementaire de 2,50 mètres de rayon, la mesure est faite avec un carreau électronique de 2cm.
1.2 Les voiles utilisées doivent être spécifiques à la précision d’atterrissage, les voiles dites « fines », hybrides ou de parapente, ne seront pas autorisées.
II- MESURE DES DISTANCES ET COTATION
2.1 Les distances à l’atterrissage seront mesurées jusqu’à 2,50 mètres : tout atterrissage au-delà sera crédité de 2,50 mètres.
2.2 La distance en mètres et centimètres est la performance du concurrent. Elle est attribuée selon le principe de la majorité des trois juges observateurs.
2.3. Durée des vols :
Tout concurrent dont le vol a une durée inférieure à TRENTE SECONDES après le largage du câble se verra proposé un re-vol par les juges.
III- CLASSEMENT
3.1 Le ou la concurrent(e) totalisant la plus faible distance sur toutes les manches jugées est déclaré vainqueur.
3.2 Si la sixième manche ne peut être effectuée, tous les classements sont établis en prenant en compte les performances réalisées dans les manches validées (addition des distances).
3.3 En cas d’ex-aequo aux trois premières places à l’issue des manches validées, un vol de départage sera effectué. S’il ne peut l’être, les ex-aequo seront départagés par le plus grand nombre de carreaux (0,00 cm) sur l’ensemble des manches validées puis, si l’égalité persiste, par le plus grand nombre de 1 cm, 2 cm, etc.
IV- PROCÉDURE DE TREUILLAGE
4.1 Les treuillages seront effectués jusqu’à une hauteur minimale identique pour tous les concurrents.
4.2 À partir de cette hauteur, le treuillage cessera, soit à la demande du compétiteur, soit à la limite possible du treuillage.
4.3 Les signaux conventionnels de demande de fin de treuillage seront précisés au briefing d’ouverture.
4.4 Si la hauteur minimale ne peut être atteinte, un re-vol sera accordé.
V- CONTRÔLE DE HAUTEUR
Le contrôle de hauteur sera défini par repère de la longueur du câble déroulé.
VI- PENALITÉ
6.1 Un largage du câble avant le travers cible sera sanctionné par la cotation maximale de 2,50 mètres.
6.2 Tout compétiteur qui sera absent sur l’aire de décollage 5 minutes avant de décoller, se verra attribuer 2,50 mètres de pénalité, il ne pourra plus voler au cours de cette manche.
6.3 Le retard d’un compétiteur qui attend sur l’aire de décollage que le compétiteur précédent lui ramène sa voile (cas d’une même voile pour deux compétiteurs), n’entraîne pas de pénalité, il décollera en fin de manche.
VII- RECLAMATIONS
Toute réclamation devra être rédigée par écrit et adressée au chef juge dans un délai maximal de 2 heures après l’incident, accompagnée d’un chèque à l’ordre de la FFP d’un montant de 40€. Chèque qui sera restitué au compétiteur si la réclamation est acceptée par le collège des juges.
VIII- RÈGLES PARTICULIÈRES
8.1 Les re-vols provoqués par des dysfonctionnements du parachute lors de l’approche en P.A sont à la charge du compétiteur
8.2 Les re-vols accordés à la suite d’une durée de vol inférieure à 30 secondes( problèmes de treuillage), ou de la défaillance des systèmes de mesure de Précision d’Atterrissage sont à la charge de la F.F.P
8.3 Les re-vols liés aux conditions météorologiques sont à la charge de la F.F.P
IX- AUTRES RÈGLEMENTS APPLICABLES
En dehors des dispositions précédentes, spécifiques à l’ascensionnel, les règlements généraux F.F.P ou F.A.I seront de référence
Contacts presse :
Phoebus Communication – 06 15 15 63 20
Michel Jouinot – 06 80 22 39 50
Inscriptions : www.ffp.asso.fr/online/comptetition.php
Informations : www.ffp.asso.fr/championnat-de-france-ascensionnel/
Avec des conditions météo catastrophiques, le camion podium de la fédération est pris d’assaut. Le chariot pour personnes à mobilité réduite pour les vols ascensionnels, présenté sur le podium de la FFP, a suscité beaucoup d’intérêt, en témoigne les discussions entre spécialistes sur son exploitation.
L’école de parachutisme du Haut Limousin, organisatrice de ce grand rendez-vous a investi l’hippodrome depuis une semaine pour les entraînements. Mais, elle attend avec ferveur le soleil qui, lui, n’est pas présent !
Ce championnat, ouvert à tous les sportifs, qu’ils soient issus du conventionnel comme de l’ascensionnel, connaît un franc succès puisqu’une dizaine de participants conventionnels sont présents et découvrent les atouts de la discipline ascensionnelle.
28 compétiteurs engagés, et l’équipe de France PA ont pu réaliser 2 manches le 1er jour. Aujourd’hui, 24 mai, vent tempétueux, grêle clouent une nouvelle fois les compétiteurs au sol. Mais rien n’est perdu… Ils ont attendu sagement la fin de journée comptant sur la clémence météorologique de fin de soirée.
La météo n’a pas empêché partage et convivialité.
Clôture des championnats de France ascensionnel – Enfin une météo apaisée ce matin, qui a permis de lancer et de boucler la 3ème manche. Les podiums :
1er Tanguy MAHEU / 2e Jean Noël HARDOUIN / 3e Adeline DELECROIX / 4e Régis LECOLLIER / 5e Albert BRUNEAU
Ce championnat de France ascensionnel, malgré ce très mauvais temps, n’a pas terni la détermination des participants, ni la bonne humeur de l’équipe organisatrice. A l’année prochaine !
