Pendant toute cette semaine, les équipes de France de parachutisme « précision d’atterrissage » masculine et féminine sont en stage sur l’aérodrome du Blanc. Les sauts vont bon train…
Enfin presque. Et c’est un comble. Si le site du Blanc a été choisi pour ce stage de l’équipe de France, c’est pour deux raisons. Tout d’abord pour une raison pratique : il est l’un des rares ouverts en cette saison et il y a un personnel au sol compétent. La deuxième raison est plus technique, ce qu’explique Nicolas Coadic, le directeur technique adjoint : « Nous allions souvent à Gap, au pôle France. Mais à trop s’entraîner au même endroit, on ne progresse pas car les conditions d’aérologie sont les mêmes. Il fallait donc varier pour être prêt pour n’importe quel milieu climatique. » Malheureusement, pour les huit membres présents, le vent s’est invité à la fête. Lundi, un seul malheureux saut a été effectué le matin. « C’est dommage mais ce n’est pas très grave. Le but de ce stage est d’enchaîner les sauts. Normalement, huit le matin et maxi cinq l’après-midi. A côté de cela, nous faisons des séances vidéos. Car quand on est sous la voile, on ne voit pas forcément toutes les erreurs. Alors c’est à Manuel Ulibarri (directeur technique) et à moi d’intervenir. Nous apportons surtout des petites corrections sur le finale. » Un final assez délicat où tous les détails comptent. […]

Retrouvez l’intégralité de l’article sur LaNouvelleRépublique.fr