Le temps n’est pas au rendez-vous. […]
« Le plafond était bas, explique MarieClaire Feydeau, la présidente de la Fédération française de parachutisme. On sautera le plus tard possible. On ne peut pas faire autrement. Seule la précision d’atterrissage a conservé un bon rythme grâce à plusieurs manches disputées aujourd’hui. Seuls quelques sauts dans d’autres disciplines ont pu être réalisés à l’image du Freestyle et du vol relatif à 4.”
Retrouvez l’intégralité de l’article dans l’édition du 16 août 2015 de La Montagne Cantal.