Il passe aujourd’hui sa vie à s’élancer des nuages, filant tout sourire vers le sol à près de 300 km/h. Pourtant, il a dû attendre ses 20 ans pour assouvir son rêve d’enfant : sauter en parachute.
« Ma mère voulait bien tout me payer sauf ça et la moto », sourit Sébastien Chambet, 37 ans, originaire des Ulis et habitant de Sainte-Geneviève-des-Bois.
La maman a dû s’y faire. Son fils est aujourd’hui l’entraîneur de l’équipe de France de parachutisme artistique. Et même pendant ses vacances, il ne reste pas longtemps au sol. Sébastien est rentré ce mardi de Nouvelle-Calédonie. Aux antipodes, il a sauté, en vue d’un documentaire, au-dessus des plus beaux sites. Parmi ces paysages de rêve, le célèbre Cœur de Voh, survolé, une première mondiale, le jour de la Saint-Valentin! [..]